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Wiink est une plateforme qui aide les marques à vendre plus grâce aux contenus utilisateurs (User Generated Content). Aujourd’hui, c’est Joseph Aubry son, CEO et cofondateur, qui nous livre son retour d’expérience quant à la création du produit.

Cet épisode est fait pour vous si vous voulez savoir :

Bonne lecture :)

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Partie 1 : le pouvoir des contenus utilisateur (UGC) pour vendre plus

Qu’est-ce que le User Generated Content

“Le contenu utilisateur c’est le bouche-à-oreille des temps modernes.”

On appelle UGC les contenus partagés par les consommateurs au sujet de leur expérience avec une marque. Concrètement, ça se matérialise de plusieurs façons :

des photos
des vidéos
des posts
des stories
des avis clients

etc.

Pourquoi les marques ont intérêt à exploiter les contenus utilisateurs

Les contenus utilisateurs incitent les consommateurs à passer à l’achat via un mécanisme d’identification : "si des personnes qui me ressemblent ont aimé ce produit, je peux faire confiance à la marque."

Ce sont des éléments de réassurance et de preuve sociale qui ont un impact énorme sur la décision d’achat.

Point bonus : ces contenus sont perçus de manière plus authentique que ceux diffusés par les influenceurs·ses, dont les abonnés ont généralement connaissance des mécanismes de partenariat.

Avec un outil de gestion des UGC comme Wiink, les marques peuvent également segmenter leur clientèle selon leur niveau d’engagement et ainsi repérer leurs ambassadeurs et ambassadrices.

Générer automatiquement des contenus utilisateurs avec Wiink

Voici comment fonctionne la plateforme Wiink :

Côté consommateur : après un achat en ligne, le client reçoit un e-mail lui proposant de partager son expérience en échange de points. Cela peut se traduire par différents types de contenus : une story instagram, un commentaire TrustPilot, une vidéo, etc. En échange de ses points, le client bénéficie d’avantages proposés par la marque, comme des réductions.

Côté marque : la plateforme vérifie automatiquement que le contenu a bien été partagé, et le récupère. La marque peut également segmenter sa clientèle selon le nombre de points obtenus.

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Partie 2 : retour sur un parcours entrepreneurial - de Nantes à Station F

Dans cette partie de l’épisode, Joseph revient sur son parcours. Il explique notamment comment l’équipe Wiink est arrivée à Station F.

Démontrer la valeur de son concept

C’est en Australie que naît l’idée de Wiink. À son retour en France, Joseph décide de mettre ses études de côté pour se concentrer sur le produit. Avec Thomas, son premier associé, il postule au Palace, un espace dédié à l’entrepreneuriat à Nantes. Ils postulent également à l’incubateur de l’école Centrale Audencia. Malheureusement, ils ne sont pas sélectionnés, faute de matière à présenter.

Joseph et Thomas ont désormais une mission : démontrer que leur produit répond à une vraie problématique. Pour cela, ils pitchent l’idée auprès de commerçants nantais. Ils démontrent l’intérêt de leur concept grâce à un système de QR code affiché dans les boutiques. En scannant ce code, les clients sont invités à remplir un formulaire et à partager leur expérience sur Instagram contre un code de réduction. Ça fonctionne.

Avec ce POC (proof of concept), les deux associés postulent de nouveau au Palace et à l’incubateur de Centrale Audencia. Cette fois, ils sont sélectionnés aux deux programmes.

Prochaine étape : la création d’un MVP. Pour cela, l’équipe s’agrandit et intègre de nouvelles compétences, notamment en développement.

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Les programmes d’accompagnement de startups

Avec Wiink, Joseph est passé par plusieurs structures : l’incubateur de l’école Centrale Audencia, Le Palace, et Station F.

Pour maximiser les chances d’être sélectionné dans ce genre de programme, pas question d’arriver les mains dans les poches. Les sélectionneurs sont attentifs à plusieurs points, notamment :

> La capacité à démontrer que l’idée à du potentiel, c’est-à-dire qu’elle répond à un problème suffisamment important, douloureux, et qui touche un grand nombre de personnes.

> La motivation de l’équipe

> Les compétences de l’équipe

Les avantages que confèrent ces programmes varient d’une structure à l’autre. Certaines proposent du mentorat et des ateliers alors que d’autres aident surtout à s’entourer d’experts et à développer son réseau.

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Trouver son product market fit (PMF)

Joseph revient sur la première méthode employée chez Wiink pour se rapprocher du PMF :

Étape 1 : Faire tester son produit par un maximum de personnes. Leur demander ce qu’elles pensent de la solution.

Étape 2 : Se concentrer sur les personnes qui ont donné les retours les plus positifs. Chercher ce que ces personnes ont en commun.

Étape 3 : Trouver d’autres personnes qui répondent à ces critères (via Linkedin par exemple).

Depuis, l’équipe a structuré ses process et emploi désormais une méthodologie popularisée par Superhuman :

Cette méthode consiste à réaliser un sondage de 4-6 questions à poser à ses utilisateurs. Par exemple :

> “Qu’est-ce que vous aimez le plus dans notre produit ?”

> “Que pourrait-on améliorer ?”

> “À quel point seriez-vous déçu si demain vous n’aviez plus accès au produit ?”

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On segmente ensuite les utilisateurs selon les réponses obtenues :

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> Les personnes qui seraient très déçues par la disparition du produit sont celles sur qui concentrer son énergie en priorité. Ce sont des fans de la solution. Il est donc intéressant de travailler sur les points d’amélioration suggérés par ces personnes.

> On n’oublie pas les personnes qui seraient un peu déçues : que voudraient-elles améliorer dans le produit ?

> En revanche, on peut laisser de côté les retours des utilisateurs qui ne seraient pas du tout déçus de la disparition du produit.

Cette recherche permanente permet de préciser au fur et à mesure son Product Market Fit.

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On donne des détails sur ces méthodes dans l'épisode ;)

Liens utiles :

Contacter Joseph sur Linkedin

Générer des contenus utilisateur avec Wiink

La méthode de Superhuman pour trouver son Product Market Fit

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Wiink : vendre plus grâce aux contenus utilisateurs